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mardi 27 septembre 2011

LE SITE DU JOUR...



Si vous aimez le football ou...non, ce site est pour vous!  Ici, vous saurez tout de l'actualité du ballon rond: Analyses, commentaires, résultats de matches, des nouvelles de nos joueurs et même de ce que l'on ne vous dit pas... Alors, il ne vous reste plus qu'une chose à faire, cliquez ici...

http://www.comsdefoot.net/

lundi 26 septembre 2011

LA PREMIERE AFRICAINE PRIX NOBEL DE LA PAIX S'EN EST ALLEE...






Wangari Mata Maathai, ce nom, beaucoup ne l'ont connu qu'en 2004, année où la kenyane a reçu la prestigieuse distinction du prix Nobel de la paix. La kenyane a perdu son combat face à cette terrible maladie qu'est le cancer...
Elle se sera battue jusqu'au bout, comme lorsqu'elle défendait ses convictions et ses causes: une vraie force de la nature!
Tout poussait à penser que ce bébé, né le 1er avril 1940, à Nyéri, au Kenya, aurait un destin particulier. 
D'abord, elle empruntera  le chemin de l'école à une époque où pour les filles, c'était un fait rare! Mais il faut dire qu'elle a grandi dans une fratrie de six enfants dont elle était l'aînée, avec des parents à la mentalité progressiste.
Brillante élève, elle obtient au lycée,  une bourse d'étude émise par l'administration américaine de John F. Kennedy. En 1964, Wangari Maathai décroche un bachelor(licence) en biologie, avant de poursuivre ses études en Allemagne et de revenir à l'université de Nairobie pour travailler en médecine vétérinaire, comme assistante de recherche. En 1971, elle obtient son doctorat. Wangari Maathai va enseigner l'anatomie vétérinaire et devenir par la suite la doyenne de l'université.






Mais les vrais combats de la prix Nobel 2004, sont ailleurs. Maathai fonde le mouvement de la Ceinture verte (Green Belt Movement) en 1977. Elle a commencé par planter sept arbres le "jour de la Terre" pour honorer les femmes qui dirigent l'environnementalisme kényan. Ce mouvement, soutenu par les kényannes à travers le pays, a planté plus de trente millions d'arbres pour prévenir l'érosion du sol: le plus grand programme de reboisement au monde.
Surnommée la femme des arbres (tree woman), cette force de la nature se lance également dans le combat pour les droits des femmes... Elle emprunte ainsi le chemin de la politique, se présente à la députation,  aux présidentielles, en vain ... Sous la présidence de Daniel Arap Moi, elle sera plusieurs fois emprisonnée. Ses revendications: fin de la corruption, élections transparentes et fin de la politique tribale! Elle prend sa revanche en 2002 où elle remporte un siège au parlement sous les couleurs du parti qu'elle fonde: le parti vert Mazingira.






Oui, Wangari Maathai, c'était tout celà, un parcours hors du commun, une femme de la terre qui s'est toute sa vie battue pour elle et pour ceux qui y vivaient. Mais c'était aussi et surtout, cette mère de trois enfants, divorcée. Un divorce voulu par son ex-mari qui avait brandi comme motif que Maathai avait un trop fort caractère pour une femme et qu'il était incapable de la maîtriser... Que la terre, qu'elle a tant défendu, lui soit légère!


www.greenbeltmovement.org
The Green Belt Movement

jeudi 22 septembre 2011

A LA DECOUVERTE .... des bourses d'études UWC, à travers l'un de ses bénéficiaires, Sidy Mohamed Diakhaté









Sidy Mohamed Diakhate fait partie de la jeune élite africaine. Il est diplômé de l’université Earlham (USA),  Il est originaire de Podor, au nord du Sénégal. Apres avoir terminé ses études secondaires au Lycée El Hadj Baba Ndiongue de Podor, il obtient une bourse d’études des Colleges du Monde Uni, qui lui permet de se rendre  aux USA où il obtient le Baccalaureat International au UWC-USA et une licence es lettre en linguistique de l’université Earlham. 


Expliquez-nous ce qu’est le programme UWC.
Le United World College (UWC) ou Collège du Monde Uni est un mouvement éducatif international crée en 1962 par le célèbre éducateur Allman Kurt Hahn. Apres la deuxième guerre mondiale, Hahn qui était un spécialiste en éducation a compris que pour rétablir la paix, surtout parmi les générations futures, il fallait créer un sentiment d’affinité parmi les jeunes. Il pensa  alors à regrouper tous les jeunes du monde dans un endroit où ils pourraient bénéficier d’une expérience éducative stimulante, transformatrice et diversifiée, les incitant à créer un avenir pacifique durable. C’est ainsi que fut crée le premier Collège du Monde Uni, connu sous le nom de UWC of the Atlantic dans le Vale de Glamorgan en Grande Bretagne. Aujourd’hui on compte environs 13 UWCs répartis à travers les 5 continents



Quel a été votre parcours ?
Comme tout élève UWC venant du Sénégal, j’ai été choisi après la classe de seconde à travers un processus de sélection très rigoureux. Le processus de sélection varie d’un pays à un autre, mais au Sénégal il se fait en deux étapes. La première étape consiste à envoyer la candidature de tout élève, âgé entre 16 et 18 ans et qui a conservé une moyenne générale de 16/20 de la 6eme à la seconde, au comité de sélection dont les membres sont les anciens élèves de UWC. Une fois le lot de candidatures arrivé , ils choisissent ceux qu’ils jugent être « les meilleurs parmi les meilleurs » En 2004, l’année où j’ai été choisi, le comité avait retenu 21 élèves sur un total de 100. De ces 21 élèves, seuls 3 ont été retenus pour recevoir les bourses offertes à l’époque par les Collèges du Monde Uni,  des USA, de l’Italie et de Hong Kong. Il s’agissait de Mame Coumba Mbodj (UWC Adriatic/Italie), Aïchatou Fall (Hong Kong) et moi-même pour UWC-USA.
Venant d’un pays francophone,  le système UWC est souvent un très grand défi, surtout avec l’anglais mais aussi la différence culturelle etc. Mais comme l’a dit Kahn, l’objectif même du UWC c’est effectivement de briser cette barrière différentielle entre les jeunes afin de les amener à s’aimer, s’entendre et à se respecter mutuellement, malgré leur différence d’origine, ethnique, économique et sociale. C’est ainsi que le programme de l’IB ou Baccalauréat International a été conçu de façon à ce que ce dernier objectif soit atteint. Au bout de 2 ans j’ ai obtenu mon Baccalauréat International avec mention assez bien. J’ai ensuite déposé ma candidature à l’Université Earlham de Richmond dans l’Etat d’Indiana où j'ai obtenu une bourse entière pour faire un BA en linguistique.
Apres avoir soutenu mon mémoire, intitulé « conflit entre langues nationales et occidentales en Afrique Francophone : causes et conséquences », je décroche mon diplôme avec mention bien en mai 2010. C’est ensuite que j’ai quitté l’Indiana pour New York où je vis en moment.







 Quel est votre métier aujourd’ hui ?
 Pendant que je travaille à temps partiel en tant que comptable pour Ariva Online, une société financière locale, je me prépare à   débuter un master en finance à la City University of New York.



 Pourquoi êtes-vous resté aux USA ?
Avant de répondre à cette question,  laissez moi d’abord réitérer que je fais parti des grands prêcheurs du retour vers le pays d’origine. Je trouve que se serait un peu absurde de se plaindre des maux qui rongent son pays, si soi-même on fuit ses responsabilités d’aider à relever le défi. Ceci étant dit, je ne dirais pas que je suis resté aux USA, mais plutôt que si je suis toujours là, c’est que je suis toujours à la quête du savoir. Une fois ce besoin assouvi, moi personnellement je compte retourner au pays.





 Il n’existe pas un programme de retour  dans le pays d’origine, une fois le cursus terminé ? Il n’y a pas d’accord avec les Etats ?

Non, un tel programme n’existe pas. Etant donné la nature non-gouvernementale du mouvement UWC, le programme est indépendant des instituions étatiques du pays d’origine. Ce qui fait qu’un tel retour serait un choix individuel et personnel. Mais un tel retour est vivement conseillé.





Quel message souhaitez-vous lancer aujourd’hui ?
Comme je l’ai dit auparavant je suis pour le retour au pays d’origine, mais uniquement après une très bonne formation au cycle supérieur. Autrement dit, je ne conseille pas à ceux-ci qui viennent tout juste de finir le cursus UWC de retourner dans leur pays. 

Tout simplement parce qu’il est plus facile mais surtout plus rentable de continuer le cycle supérieur dans le pays d’accueil ou dans une université d’un pays développé tout de même. Ce conseil est bien évidemment lancé aux élèves de nos pays. La raison étant tout simplement qu’il ya beaucoup plus de chance de recevoir une formation professionnelle de qualité, ce qui n’est pas souvent  le cas si l’on décide de retourner chez soi juste après le UWC. Encore une fois, je reconnais que le retour n’est pas toujours une chose facile et reste une décision individuelle et personnelle, surtout lorsque l'on craint de ne pas trouver un travail spécifique à notre formation. Mais c’est un effort que nous devons tous entreprendre.




Aujourd’hui vivant à New York, Sidy Mohamed Diakhate travaille en tant que comptable pour une société privée et compte entamer un master en finance à la City University de NY. Malgré de nombreuses années passées à l’étranger, il  n’a qu’un seul désir: celui d’approfondir ses études supérieures et  de rentrer au Sénégal pour aider à rebâtir ce pays tant en détresse. (selon ses propres termes)


http://www.uwc.org/

mercredi 21 septembre 2011

L'IMAGE DU JOUR...


LE SITE DU JOUR...





D'ACTU vous invite à la table de ce blog... Si vous aimez les voyages culinaires, découvrir de nouveaux goûts, faire plaisir à votre panse, cuisiner, suivez ce lien...

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Evasion et convivialité garanties! Une véritable caverne culinaire d'Ali Baba!!!

samedi 17 septembre 2011

CARTE BLANCHE A...Boubacar Kan

"Jimmy Mapango et Désiré Aba'a sont de grands visionnaires
 de l'Afrique libre" 







Je pense que Jimmy Mapango ou encore Roland Aba'a et tous ceux qui luttent pour une AFRIQUE libre et unie aujourd'hui, sont les visionnaires de notre temps. Il nous faut en effet  comprendre que notre problème fondamental est notre liberté ou plutôt l'absence de liberté. Car comment croire à notre indépendance et donc à notre liberté lorsque ce sont les Occidentaux qui décident de notre avenir ? Nous avons les matières premières, pourtant nous sommes le continent le plus pauvre. On n’ a pas besoin de sortir de Sciences Po ou d'avoir fait l'ENA pour constater qu’il se joue un jeu de dupes sur le dos de l’Afrique et des Africains depuis longtemps ! Ces derniers sont divisés depuis la conférence de Berlin. Aujourd’hui, après le cinquantenaire des soit-disants indépendances africaines que l'on a célébré en grandes pompes par des parades en tous genres, le rouleau compresseur colonial occidental déroule pourtant à nouveau (Côte d’Ivoire, Libye, etc.) et nous restons silencieux, sans mots, sans réactions aucune. 
Mais est-il raisonnable que les dirigeants africains soient choisis et investis contre l’avis des populations africaines ? Est-cela la démocratie ? Est-ce cela l’indépendance, qui veut dire en d’autres termes "Liberté" ? Les conséquences de ces choix contre nature sont là: Pauvreté, misère, galopante, famine, injustice, inégalité, frustration, pillage, ignorance, haine, violence, tribalisme, ethnisme, vengeance, deuils, larmes,  crimes politiques, immigrations, exils, etc. parce que l'on a fait asseoir sur le trône ceux qui pouvaient plus répondre aux besoins des Occidentaux que ceux qui étaient à même susceptibles d'apporter des solutions à nos problèmes.
Aujourd'hui, les révélations de M. Robert Bourgi , missi dominici de l'Elysée sur le financement opaque des partis politiques français par les chefs d'Etats africains est encore là pour rappeller que c'est avec notre argent; avec l'argent des Africains qui auraient pu nous aider à nourrir nos familles ou encore à construire nos écoles que ces messieurs  s'enrichissent. Voyez donc comment on se moque de nous !
Aussi, aujourd'hui, nous devons plus que jamais, nous réveiller. Même si nous ne comprenons pas encore ces grands panafricanistes que sont Jimmy Mapango ou Laurent Désiré Aba'a, je reste convaincu  que leur contribution est plus qu'une valeur ajoutée pour ceux qui ont rêvé d'une Afrique libre. Peut-être seront-ils mis au rang de ceux qui avaient une vision claire de notre unité, de notre force et surtout du rôle que devait être celui de l’Afrique en ces temps incertains où l’humanité se cherche une nouvelle voie de sortie du chaos généralisé auquel nous sommes confrontés. En tout cas, je l'espère de tout coeur.



Vive l'Afrique !

Boubacar Kan,

Le Panafricaniste. 


jeudi 8 septembre 2011

A LA DECOUVERTE DE... Dyane Briand MASS





QUI EST DYANE BRIAND ?
Il est toujours difficile de parler de soi, car on a deux possibilités : trop en dire en y rajoutant, ou ne rien dire en se dénigrant.
 Je vais tenter de trouver le juste milieu.
Dyane Briand est une rêveuse, pure et esthète surtout. Une personne surprenante car remplie de paradoxes bavarde et trop véridique. Elle est surtout très  gauche. (sourire) Je cultive les traditions en y ajoutant une note personnelle. Chrétienne mais aussi animiste, j'attache une importance aux rites ancestraux. J'ai 39 ans, mariée et mère de 3 enfants, je suis très famille. J'ai besoin d'elle pour être. Gabonaise d’origine, aussi, il serait absurde pour moi de renier mes racines parce qu’aujourd’hui je suis Française et mariée à un « Blanc ». Je reste donc attachée à mes racines; car pour savoir où je vais, je dois savoir qui je suis et surtout d'où je viens.J'ai fait des études d'anthropologie."

QUI EST MASS?
Mass est une partie de mon nom de jeune fille : Massounga.
 Ce nom veut dire « bénédictions » « destinée ».

 Il me souvient également que « Más » en espagnol veut dire plus… J’ai donc choisi Mass comme une évidence. C'est mon pseudo.

COMMENT ETES-VOUS ARRIVEE A LA PEINTURE?
J’ai passé beaucoup de temps avant de commencer à réellement peindre, même si cela est inscrit en moi. Il y a dans la vie des choses qui s’imposent à nous s’en qu’on s’en aperçoive. Enfant, j’avais mes frères et sœurs qui trouvaient que je dessinais bien, une facilité particulière à faire certaines choses. Il y a quelques années, 3 je pense, ma sœur ainée m’a dit ceci : « Comment peux-tu faire offense ainsi à Dieu ? Il t’a doté de plusieurs qualités et tu en fais fi. Tout le monde n’est pas destiné à travailler dans un bureau. Tes mains sont ton avenir. » J’ai fait une deuxième toile, puis une autre encore et encore, sans savoir pourquoi. Je ne me connaissais pas aussi déterminée. Ma première peinture l’ayant faite au Gabon. Ne le répétez surtout à personne : « Je pense que certaines entités ancestrales ne me quittent pas et peignent avec moi ». (Sourire)




VOUS AVEZ FAIT UNE ECOLE DE BEAUX ARTS?
Non du tout… la peinture est un don. Cela me vient naturellement. J’avoue avoir peur de rentrer dans une école au risque de perdre mon identité.

QU'EST-CE QUI VOUS INSPIRE?
Inspirée par des forces que je ne saurais décrire. J'’ai comme l’impression que mon passé lointain s’impose. Des souvenirs d’enfance, où j’allais à la plantation avec l'une de mes grand-mères. L’Amour pour ma mère, ma culture, etc. L’Amour et la naissance, voire même la renaissance. Tout ce qui est liée à l'initiation féminine.

VOUS VOUS ETES EGALEMENT MISE DANS LA CREATION DE BIJOUX... POURQUOI?Un jour je suis tombée sur une corne de bovidé en me promenant dans la ferme de mon beau-frère. J’ai eu une idée qui a germé. Depuis, je ponce et fait briller des cornes avec l’aide de mon mari. Je réalise que le nom prédispose et conditionne l’individu. Il était écrit que j’épouserais un Braind et ce nom me collerait à la peau : je fais briller des cornes pour en faire des bijoux (tant que ce n’est pas mon mari qui les porte) (sourire) Soyons sérieux. J’ai créé mon auto-entreprise en création de bijoux, car j’ai un style à moi et il aurait été dommage de ne pas en faire profiter les autres.

                                               Corne de boeuf sur grosse amande du Gabon



ARRIVEZ-VOUS A VIVRE DE VOS ARTS?

NON ! Impossible pour le moment. Mais on y croit fortement, car petit à petit l’oiseau fait son nid.


QUELLE PREMIERE MESURE PRENDRIEZ-VOUS, SI VOUS ETIEZ MINISTRE DE LA CULTURE AU GABON?
(Grand rire !) Je donnerais la possibilité à chacun de s’exprimer en allant à la recherche des talents, car convaincue que le Gabon en regorge. Je suis la preuve qu’il faut un tremplin pour sortir de l’ombre. Mon tremplin, c'est mon mari. Et aussi préserver les richesses  léguées par nos ancêtres afin de les rendre plus pérennes, tout en étant à l’écoute de la culture actuelle qui sera le patrimoine de demain….



QUEL REGARD PORTEZ-VOUS SUR L'ART GABONAIS?
Il y a de l’espoir, car comme je l’ai dit il y a de nombreux talents. 
Il faudrait que l'on reconnaisse enfin la valeur du "made in Gabon


VOTRE PEINTRE PREFERE?
Au risque de décevoir, je n’en ai point… car je suis émerveillée par la qualité du travail des uns et des autres. Même si au Gabon, maître Miko Mi ndze est quelqu’un que j’ai toujours admiré en secret.

POUVEZ-VOUS NOUS PRESENTER L'UN DE VOS TABLEAUX PREFERES ET NOUS L'INTERPRETER?



« Mugissi ngombi » ou l’esprit du ngombi : peinture acrylique sur toile de lin. (50x60)
Un visage et un ngombi instrument de musique traditionnel. Sable, feuille de bananier et papier sur lesquelles figure une partition de musique. Le tout sur fond bleu. un extrait qui me semble convenir à une partie de mes peintures et à cette toile en particulier: « … l’initiation est une formation. Plus qu’une formation, elle est une fondation. Elle ne fonde pas seulement. Elle est re-fondation. C’est dire que l’homme ne sera réellement un être doué d’existence qu’après avoir subi les dures épreuves du cheminement initiatique. Être initié, c’est, en quelque sorte, s’inscrire dans une identité. Tel est, semble-t-il, l’objectif premier de tout rituel initiatique africain.
Lamine NDIAYE( in Ethiopiques n°72, Littérature, philosophie, art ; 1er semestre 2004 : L’initiation : une pratique rituelle au service de la victoire de la vie sur la mort »)

OU PEUT-ON TROUVER VOS OEUVRES?
Je n’ai malheureusement pas de site pour le moment… J’espère trouver un lieu où mes toiles pourraient être exposées assez longtemps.
PAGE OFFICIELLE FACEBOOK: MASS (peintre)